Copropriétaire de la ferme EDPA et d’Oliméga, fabrication d’huile de caméline sous la marque Et Voilà! M. Durivage et son frère sont la cinquième génération à la ferme. Ils ont mené plusieurs projets de recherche environnemental à la ferme sur les plantes compagnes, la vie du sol, le séchage des grains par air forcée, le semis à la volée et l’implantation de cultures émergentes non traditionnelles.

M. Réjean Prince est titulaire d’un Baccalauréat en agroéconomie de l’Université Laval. Actuellement, il occupe le poste de directeur régional adjoint par intérim au MAPAQ à la Direction régionale de la Montérégie, secteur Est et le poste de conseiller expert pour la Table sectorielle en économie et gestion du MAPAQ. M. Prince a aussi apporté sa contribution à la Direction régionale du Centre-du-Québec comme conseiller en développement régional, diversification et commercialisation et à l’ITA - Campus de Saint-Hyacinthe comme enseignant au Service de la formation continue et dans le programme Gestion et exploitation d’entreprises agricoles. M. Prince a également effectué les fonctions de directeur général et de conseiller technique dans le réseau coopératif agricole. Ses champs d’expertise sont l’économie, la gestion d’entreprise et la mise en marché des produits agricoles.

Mme Nathalie Lanoie détient un doctorat en biologie végétale de l’Université Laval, est agronome et sélectionneure de plantes. Pendant 15 ans, elle a travaillé à la création de variétés d’avoine, de blé, d’orge et de soya. Plusieurs des variétés présentement sur le marché québécois proviennent des programmes d’amélioration génétique qui étaient sous sa responsabilité. Elle a réalisé cette revue de littérature à titre de consultante et travaille maintenant pour une entreprise de produits et services d’agrofournitures.

Mme Vanasse est professeure en grandes cultures et en agroenvironnement à l’Université Laval. Elle dirige plusieurs projets de recherche liés aux effets des rotations et des cultures de couverture sur la qualité et la fertilité des sols. Elle a également dirigé plusieurs essais sur les céréales d’automne. Elle est membre des Commissions des sols et de phytoprotection et du Comité grandes cultures du CRAAQ.

M. Denis Pageau a travaillé sur de nombreux aspects de la production céréalière et d’oléoprotéagineux. Il a évalué la résistance à l’ergot des cultivars d’orge et de blé, où il a pu mettre en évidence que les carences en bore dans les sols étaient à l’origine des forts taux d’infestation par l’ergot chez l’orge. Il a été le premier scientifique à s’être intéressé au développement de la culture du canola sous les conditions climatiques du Québec. De plus, M. Pageau a également étudié plusieurs aspects de la régie de culture des céréales et comment certaines pratiques culturales pouvaient avoir un impact sur le contenu en vomitoxine. Il collabore avec les améliorateurs afin d’identifier les cultivars de céréales les mieux adaptés aux conditions climatiques du Québec.

M. Caplette est diplômé du programme Gestion et technologies d’entreprise agricole à l’ITA – Campus Saint-Hyacinthe. Il est agriculteur depuis 36 ans sur la ferme familiale, spécialisée en grandes cultures. Il est également blogueur dans la section Profession agriculteur sur le site du Bulletin des agriculteurs. M. Caplette aime relever des défis et expérimenter de nouvelles techniques. C’est, selon lui, ce qui rend leur profession passionnante.

Mme Cuerrier est titulaire d’une maîtrise en biologie végétale de l’Université Laval. Depuis 2010, elle travaille au CÉROM comme chercheure en malherbologie. Ses travaux portent sur la gestion intégrée des mauvaises herbes en grandes cultures. Elle a coordonné le large inventaire de la folle avoine et de la petite herbe à poux résistantes aux herbicides au Saguenay–Lac-Saint-Jean et en Montérégie, respectivement, en plus d’être la responsable, depuis 2014, du Service de détection de la résistance des mauvaises herbes aux herbicides.

Après l’obtention de son doctorat en 1999, M. Laforest a joint BASF Plant Science (DNA LandMarks à Saint-Jean-sur-Richelieu). Il y a fait l’étude, entre autres, de la génétique de la résistance aux herbicides en particulier chez les mauvaises herbes ainsi que le développement de marqueurs moléculaires. Il travaille, depuis juin 2015, à la Station de Recherche et Développement chez Agriculture et Agroalimentaire Canada afin d’élucider les mécanismes de résistance aux herbicides des mauvaises herbes de l’est du Canada. En un peu plus d’un an, il a expliqué le mécanisme de résistance d’au moins six espèces différentes.

M. Mathieu Côté a agi pendant quelques années à titre de conseiller en production végétale. Présentement, il a plusieurs mandats entourant les pesticides au MAPAQ, dont SAgE pesticides.