Depuis quelques années, les laboratoires offrent d’analyser la digestibilité de la fibre NDF des fourrages. Comment ce dosage est-il fait? Qu’est-ce que ces résultats veulent dire? Comment la digestibilité de la NDF des fourrages affecte-t-elle les recommandations des nutritionnistes? Robert Berthiaume, expert en systèmes fourragers chez Valacta, a approfondi la question.
Les protéines constituent un autre sujet d’intérêt important. Dans les rations laitières, elles représentent le nutriment le plus coûteux. Il est maintenant possible de réduire la protéine totale sans affecter la productivité. Il peut y avoir une économie appréciable à la clé de même qu’une réduction de l’excrétion d’azote dans l’environnement, selon Hélène Lapierre, du Centre de recherche et de développement sur le bovin laitier et le porc. La chercheure a calculé l’économie potentielle ainsi que la diminution de l’excrétion d’azote dans l’environnement. Elle propose une approche pour équilibrer les apports de la ration en protéines métabolisables et en acides aminés avec les besoins des vaches.
Ces sujets ainsi que plusieurs autres seront abordés dans le cadre de la
Journée d’information scientifique sur les bovins laitiers et les plantes fourragères, qui se tiendra le 25 février prochain à Drummondville.
Un rendez-vous pour demeurer à la fine pointe des connaissances!
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